Scènes – Marie-Hélène Almeida, peintures poétiques et figuratives

Dans mes Scènes, je cherche à représenter des instants suspendus où l’être humain rencontre le mystère.
Chaque composition traduit une présence, un passage ou une relation qui dépasse l’apparence visible.
Figuratives dans leurs formes mais habitées d’une atmosphère poétique, ces peintures invitent le spectateur à contempler la fragilité, la lumière et la profondeur de l’âme humaine.

Le Dormeur, de son sommeil profond naît le premier frémissement de lumière.

"Le Dormeur"

Le Dormeur, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida, met en scène une figure humaine abandonnée au sommeil, comme suspendue entre deux mondes. Son corps repose dans une matière terrestre, tandis qu’une silhouette diaphane apparaît en arrière-plan, telle une présence ou un double. Cette scène symbolise l’humanité encore endormie, à l’aube d’une transformation intérieure, sur le point de comprendre que seul l’amour donne sens. Réaliste et poétique, l’œuvre ouvre une méditation sur le passage, la conscience et la naissance d’un nouveau regard sur le monde.

L’Éveil

L’Éveil, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida, représente une figure centrale drapée de bleu, irradiant une clarté translucide. Autour d’elle, d’autres présences apparaissent, certaines précises, d’autres presque effacées, comme des témoins d’un passage intérieur. Dans le jeu des ombres et des lumières, cette scène traduit un moment de bascule, où l’humanité se tient au seuil d’une vérité silencieuse.
« L’éveil est lumière qui se lève quand le regard s’ouvre à l’indicible. »

Les Veilleuses

Les Veilleuses, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida (116 × 81 cm), met en scène deux figures féminines dressées dans un clair-obscur vibrant, où ombres et lumières se répondent comme des murmures d’existences partagées. Elles incarnent la veille protectrice, cette capacité intime à prendre soin de sa propre vie, à veiller sur soi — à devenir les gardiennes de sa propre lumière.
« Nous sommes les veilleurs de nos propres vies, si nous voulons bien allumer la lumière. »

La Lumière

La Lumière, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida (116 × 81 cm), met en scène une figure drapée de bleu, irradiant une clarté translucide qui se déploie au cœur de l’ombre. Autour d’elle, d’autres présences apparaissent, certaines affirmées, d’autres à peine esquissées, comme des témoins de ce passage intérieur.
L’œuvre exprime la force d’une lumière qui purifie, qui éclaire et qui guide, invitant à reconnaître en soi cette part silencieuse capable d’orienter le chemin.

"Les Eaux de l'Amour"

Les Eaux de l’amour, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida (50 × 65 cm), met en scène deux figures qui se font face au cœur d’un univers aquatique aux tonalités bleues et profondes. La lumière enveloppe leurs regards, tandis que l’ombre rouge et sombre rappelle la fragilité des sentiments humains. L’ensemble évoque l’amour comme une source fluide, à la fois fragile et puissante, capable de porter et de transformer l’être.
« Dans les eaux de l’amour, deux êtres se reflètent et s’élèvent, portés par la lumière de leur rencontre. »

Renaissance

Renaissance, peinture à l’huile de Marie-Hélène Almeida (46 × 38 cm), dévoile une silhouette claire qui surgit au sommet de la toile, comme un être de lumière veillant sur une terre embrasée. Les rouges incandescents et les ors lumineux évoquent un feu purificateur, ouvrant la voie à un nouveau départ.
Réaliste dans sa présence et poétique dans son atmosphère, ce tableau invite à contempler la promesse d’un cycle renouvelé et porteur d’espérance.

Quand l’œil intérieur s’ouvre, le monde prend une autre clarté.

Quand la veille s’allume, l’ombre cesse d’effrayer.

De la lumière naît la transparence.

Dans l’eau de l’amour se prépare la promesse d’un nouveau cycle.

Chaque fin porte en elle une naissance, chaque embrasement une aurore nouvelle.